Dans les deux cas, il s’agit d’une lésion cérébrale de la période anténatale, périnatale ou postnatale, qui a entraîné des atteintes motrices, neuropsychologiques, comitiales, cognitives, sensorielles, relationnelles à des niveaux variables …
Aujourd’hui, les deux termes sont généralement regroupés sous le terme de paralysie cérébrale.
Celle-ci se définit par un ensemble de troubles permanents du développement du mouvement et de la posture, responsables de limitations d’activités, imputables à des événements ou atteintes non progressives survenus sur le cerveau en développement du foetus, du nourrisson, ou durant les premières années de la vie. Les troubles moteurs de la paralysie cérébrale sont souvent accompagnés de troubles sensoriels, perceptifs, cognitifs, de la communication et du comportement, par une épilepsie et par des problèmes musculo-squelettiques secondaires.