Plus de 60 ans d’expertise
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Aujourd’hui, Cap’ devant ! c’est :

  • Plus de 60 ans au service des personnes en situation de handicap en Île-de-France,
  • L’accueil de plus de 620 enfants et d’adultes et leur accompagnement tout au long de  leur vie avec l’aide près de 600 salariés,
  • La gestion de 18 établissements et services médicaux sociaux implantés au cœur des villes en Ile-de-France : Paris (75), Yvelines (78), Hauts-de-Seine (92), Seine-Saint-Denis (93), Val d’Oise (95).

L’association a été fondée en novembre 1954 par Madame Madeleine Fockenberghe, grande Résistante pendant la seconde guerre mondiale,  aidée par le Professeur Guy Tardieu et des parents d’enfants IMC. Leurs motivations profondes étaient d ‘offrir un lieu d’accueil adapté aux personnes IMC jusqu’alors sans solutions, de favoriser la recherche médicale et de promouvoir l’action auprès des pouvoirs publics.

  • 1954 : Création de l’association ANIMC (Association Nationale des Infirmes Moteurs Cérébraux)
  • 1955 : L’association obtient des pouvoirs publics que l’Infirmité Motrice Cérébrale soit reconnue « comme longue maladie »
  • 1961 : L’association est reconnue d’Utilité Publique par décret au journal officiel
  • 1994 : L’association devient ARIMC-IdF (Association Régionale des Infirmes Moteurs Cérébraux d'Ile-de-France) et prend une dimension régionale
  • 2006 : Intégration de L’AERIMC et ses 2 établissements accueillant des personnes IMC ayant des troubles graves de la communication (Surdité, ..)
  • 2011 : Intégration d’ « Aida »  à ARIMC-IdF
  • 2012 : Rédaction d'un nouveau projet associatif
  • 2014 : L’ARIMC-IdF change de nom et devient Cap’ devant ! Elle adopte de nouveaux statuts et un nouveau règlement associatif
  • 2019 : La refonte du projet associatif de Cap' devant ! pour les 5 années à venir

Notre ambition

Cap' devant ! s’applique à mettre la personne accueillie au centre de sa mission et de ses actions. Nous nous engageons pour :
  • Personnaliser et individualiser notre accompagnement,  
  • Adapter nos structures, aux besoins et capacités de la personne accueillie, autant que possible et en fonction de nos obligations de sécurité,
  • Impliquer les familles et favoriser le lien familial.